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Added on the 07/10/2015 14:41:13 - Copyright : Reuters - Next Media
Des drones survolant les États de New York et du New Jersey suscitent l’inquiétude de nombreux Américains. Donald Trump a suggéré une réponse musclée : les « abattre ». Voici ce que l’on sait à l’heure actuelle. Depuis près d’un mois, des drones nourrissent chaque nuit les théories du complot aux États-Unis. La dernière conférence de presse du Secrétaire à la sécurité intérieure du pays, Alejandro Mayorkas, apporte quelques éclaircissements, sans donner d’explication concrète. Pour rappel, depuis le 18 novembre, des dizaines de signalements de drones ont été rapportés dans l’État du New Jersey, non loin de New-York, mais également dans d’autres régions du nord-est des États-Unis. Au total, des objets volants ont été observés dans six États : le New Jersey, New York, le Connecticut, la Pennsylvanie, le Massachusetts et la Virginie. Les inquiétudes se sont intensifiées après que des drones ont été repérés près de l’arsenal de Picatinny, un centre de recherche militaire américain, et au-dessus du terrain de golf du président élu Donald Trump à Bedminster. Les théories les plus farfelues vont bon train : d’aucuns sur les réseaux sociaux affirment qu’une bombe nucléaire « sale » est arrivée à New York et que les drones surveillent les radiations ; d’autres tombent dans le complotisme le plus simple : si nous ne savons pas ce que c’est, alors ce sont des aliens.
Aerial images of Hillside Endarasha Academy, in central Kenya, where at least 17 young children have been killed in a fire that ripped through the primary school's dormitory overnight. IMAGES
Aerial images of the volcanic eruption on the Reykjanes peninsula in southwestern Iceland, with a fissure more than a kilometre long spilling glowing orange lava and clouds of white smoke. The eruption is the fifth in six months on the Reykjanes peninsula. IMAGES
Aerial images show lava near the Icelandic fishing town of Grindavik as volcanic activity eases following an eruption which began early Sunday. Grindavik's 4,000 residents had been evacuated in November as a precaution. Shortly after a December 18 eruption, they were allowed to return for brief periods. They were authorised to regain their homes permanently on December 23 but only a few dozen chose to do so. IMAGES
Depuis 2 mois la police utiliser des drones pour surveiller les manifestations, ou la route, mais filmer des citoyens français avec des appareils de commerce chinois n'est pas une bonne idée.
Aerial images show the extent of destruction caused by Russia's invasion in the town of Stoyanka near the Ukrainian capital of Kyiv. IMAGES