Description
Added on the 31/08/2017 12:21:11 - Copyright : Orange - Webedia
Issu d'une famille bourgeoise de Beverly Hills, Ron Decker, tombé pour un petit trafic de drogue, n'a rien d'un criminel endurci. Mais la justice choisit, en dépit de son âge, d'en faire un exemple et le condamne à une lourde peine : la réclusion à San Quentin, une des prisons les plus dures et les plus vétustes des Etats-Unis.Ron découvre alors un monde cruel et organisé avec ses clans, ses clivages ethniques, ses luttes de pouvoir et d'influence, ses échanges clandestins. Un environnement instable, violent, où le moindre relâchement peut être fatal... Un univers dont il a tout à apprendre, sous la protection d'Earl Copen, ancien chef de gang qui connaît les us et coutumes du monde carcéral sur le bout des doigts.
Dans la ville fictive d'Elkerton, Marvin constitue un éternel sujet de plaisanterie au poste de police. Il brille par son incompétence et ses échecs constants à tous les tests ont fait de lui une légende vivante de la nullité. Un soir de garde, Marvin tente de stopper un cambriolage et frôle la mort dans un accident de voiture. Il est sauvé in extremis par l'excentrique professeur Wilder, qui le soigne dans son laboratoire secret. Pour remettre d'aplomb le jeune homme, le scientifique lui greffe plusieurs organes d'animaux.Lorsque Marvin retourne en ville, il ne se souvient plus de rien. Il ne comprend d'ailleurs pas pourquoi il court plus vite qu'un cheval, possède un flair de chien et se trouve autant attiré par la jolie Rianna que par une séduisante chèvre.
Trois générations de femmes se succèdent dans ce film.Hava (Fatemeh Cheragh Akhar) est sur le point de rejoindre son petit camarade quand sa grand-mère lui rappelle qu'elle a aujourd'hui neuf ans et que désormais elle ne pourra plus aller jouer librement avec ses amis. Sa mère lui offre son premier tchador noir. Etant née à midi, elle obtient encore quelques instants de liberté.Des dizaines de jeunes filles en tchador font une course cycliste. Le mari de l'une d'elles lui intime l'ordre de renoncer, sinon il la répudiera. La jeune femme ne l'écoute pas et pédale de plus belle. Il revient en compagnie de sages du village.A Kish, au sud de l'Iran, débarque d'un avion une femme âgée. Elle demande à un jeune porteur de l'accompagner au plus proche centre commercial. Elle vient d'hériter et décide de s'acheter tout ce qu'elle n'a jamais pu se payer dans sa pauvre vie.Présenté dans le cadre de la semaine internationale de la critique à la Mostra de Venise 2000 et en avant-première aux 14èmes Rencontres Cinéma de Manosque, Le jour où je suis devenue une femme est le regard d'une réalisatrice sur la condition féminine en Iran. Ce premier long métrage en trois épisodes de Marzieh Meshkinien a également remporté le Prix Spécial du Jury et le Prix du Jeune Public au Festival des Trois Continents de Nantes 2000 ainsi que le Prix de la mise en scène au Festival de Thessalonique 2000. Le film sort exceptionnellement le jeudi 8 mars 2001 à l'occasion de la Journée Nationale de la Femme.
En Afrique du Sud, dix ans après la fin de l'Apartheid, Sox Moraka (Tony Kgoroge), un jeune noir sappé comme un rappeur et à l'attitude décontractée, est fiancé à une fille blanche et vit dans un luxueux appartement du quartier blanc de Johannesburg, où il passe le plus clair de son temps à animer des émissions de clips vidéo. Souhaitant devenir une star de cinéma, il passe une audition pour jouer le rôle de Bra'Biza, un braqueur de voitures, mais on lui fait remarquer qu'il n'a pas le vécu nécessaire pour incarner un tel héros. Humilié par le réalisateur blanc qui le vire sans ménagement, Sox décide de se rendre dans les townships de Soweto afin d'appréhender au mieux son futur personnage, et même si pour cela il risque de tout perdre : le confort, la liberté, la vie. Il y retrouve Zama (Rapulana Seiphemo), l'un de ses amis d'école, devenu malfrat. Précipité dans le monde dangereux mais séduisant du crime, Sox se laisse entraîner par Zama et son gang, jusqu'à une nuit dramatique qui va remettre son avenir en question. Hijack Stories est une satire féroce du portrait que dresse le cinéma hollywoodien de la communauté noire américaine. Le réalisateur Oliver Schmitz avait dénoncé treize ans plus tôt l'apartheid avec Mapantsula.
Billy et Buford, deux truands un peu stupides, parviennent à s’évader de prison.Témoins d’un accident de voiture, ils doivent s’occuper du seul survivant du drame : un bébé.